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La naissance de la "Dance"

La dance (API: /dɛns/) est un type de musique électronique produite essentiellement à des fins d'utilisation en discothèque ou dans un environnement centré sur la danse. Cette musique est ainsi quasi exclusivement créée pour son utilisation par des DJs dans le cadre d'un mix, où elle est diffusée en continu.

La dance apparaît dans les années 1980 de façon plutôt discrète via des scènes régionales de nightclubs. Au début des années 1990, sa présence se fait de plus en plus remarquée dans le paysage culturel. Son rôle dans la société, aussi bien historique et culturel que social commence même à être étudié académiquement.

Ce genre est une réunion d'autres genres musicaux basés sur les percussions. Il s'inspire largement du disco des années 1970, et prend la place qu'occupait l'italo Disco et l'italo dance des années 1980 pour véritablement prendre son essor et se diversifier dans les années 1990. La dance s'inspira aussi de musiques plus expérimentales tel l'electro-pop comme a pu en faire le groupe Kraftwerk. La musique électronique de danse se crée généralement avec des instruments électroniques comme les synthétiseurs, les boîtes à rythmes ou les séquenceurs. La musique se focalise principalement sur le son de ces instruments, même lorsque ceux-ci imitent des instruments acoustiques plus traditionnels. Parfois, cela ne donne pas uniquement une musique conçue pour être dansée mais également dérivée de genres orientés sur la danse.

Comme cela était déjà un peu le cas pour les groupes de disco dans les années 1970, puis d'italo disco et d'italo dance dans les années 1980, les groupes de dance manifesteront très souvent un caractère éphémère et préfabriqué dans la mesure où leurs membres sont essentiellement recruté(e)s pour leur physique avantageux, sexy et sportif afin de faire de la figuration dans des vidéo-clips tape-à-l'oeil et dans des événements clubby. À l'inverse, les véritables compositeurs et concepteurs des morceaux restent la plupart du temps dans l'ombre, juste crédités d'une mention sur les pochettes de disques et, naturellement, d'une part substantielle des royalties. La contrepartie de la gloire des interprètes se trouve dans la précarité de leur situation : ils sont en effet souvent remis en cause par les producteurs, désireux de maximiser le succès, qui les remplacent au bout de quelques années -et même, souvent, au bout de quelques mois- par de nouvelles têtes plus jeunes, dynamiques, financièrement peu gourmandes et correspondant davantage aux esthétiques musicales très changeantes du genre.